Bonnes pratiques

La perte de poids durable repose sur des bases simples… mais rarement appliquées. Pas besoin de changer toute votre vie.Pas besoin de souffrir.Pas besoin de s’interdire tout ce qu’on aime.

Froid, nuit, manque d'énergie... L'hiver rend la régularité sportive difficile. Découvrez 6 stratégies essentielles : accepter le changement, préparer corps et mental, adapter votre planning à la lumière et réduire la charge, pas la fréquence. Ne perdez pas votre élan, consolidez vos bases !

C’est un sujet qui revient régulièrement dans les discussions entre sportifs : “Tu t’entraînes à jeun, toi ?” Certains jurent que c’est magique pour brûler des graisses. D’autres affirment que c’est inutile, voire dangereux. Alors… qui a raison ? Faut-il s’entraîner à jeun pour progresser ? Est-ce vraiment plus efficace ? Et surtout, est-ce fait pour toi ?

Il y a des mois où on pousse. Où on charge la barre. Où on enchaîne les séances avec l’envie de dépasser nos limites. Et puis il y a août. Le mois où tout ralentit. Où la chaleur te fait lever le pied. Où les salles ferment plus tôt. Où tu t’autorises enfin à dire : “je verrai demain”. Mais si tu crois que ça veut dire régression, détrompe toi. Août est un mois puissant - à condition de savoir l’écouter

On parle souvent d’alimentation, d’entraînement, de discipline… Mais sans sommeil, tout ça ne tient pas bien longtemps. Le sommeil, c’est le grand oublié de la performance. C’est gratuit, accessible à tous, indispensable — et pourtant, trop de gens le négligent. Pas par mauvaise volonté, mais par manque de compréhension. Alors aujourd’hui, on fait le point. Parce que bien dormir, ce n’est pas juste “ne pas être fatigué”. C’est un acte de récupération active.

Au-delà de l'entraînement et de la diète, l'hydratation, le sommeil et la gestion du stress sont des piliers souvent négligés mais cruciaux pour la progression physique et mentale. Leur carence a un impact négatif sur la performance et la récupération. Le véritable progrès sportif réside dans l'équilibre et la prise en compte de ces facteurs invisibles.

Il fait chaud. Trop chaud.Le thermomètre grimpe, l’air est lourd, et même aller chercher du pain devient une séance de cardio. Alors quand on est sportif, coach ou simple passionné, une question se pose : est-ce que je peux continuer à m’entraîner quand il fait 35°C à l’ombre ?